Travailler avec la SATT Sayens nous permet de confronter nos désirs de recherche aux contraintes imposées par une valorisation économique ou sociétale. Cette confrontation peut être fertile quand elle nous permet de reformuler nos projets pour être plus proche des besoins économiques et sociétaux sans pour autant sacrifier nos objets ou nos méthodes de recherche.
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SON SAS est issue des travaux de recherche de trois chercheurs chimistes de l’université de Bourgogne. La start-up produit une toute nouvelle génération de nanoparticules, inédite sur le marché mondial, des nanoparticules reproductibles, propres et hautement caractérisées. Avec cette innovation qui résulte de la fusion de deux mondes, les nanoparticules et la chimie organique, SON ambitionne déjà de devenir le leader mondial des nanoparticules fonctionnalisées
Je travaille depuis quelques années avec Sayens sur le montage et le portage d'une thèse CIFRE et de son contrat d'accompagnement. J'ai particulièrement apprécié les conseils qui nous ont été prodigués dans les démarches administratives, dans les négociations avec l'entreprise, dans l'élaboration du montage financier.
La start-up iSlit va révolutionner le marché de l’ophtalmologie en apportant la toute première solution à base d’intelligence artificielle qui simplifie, affine et enrichit le diagnostic lors des examens à la lampe à fente. Une solution reposant sur une expertise en IA portée par une collaboration R&D tripartite inédite : le start-up studio La Forge, l’université de Bourgogne et SAYENS.
Un traitement inédit a été mis au point au sein du CHRU de Nancy et de l'unité CNRS7365 IMoPA.
Une innovation qui profite dorénavant à la startup StemInov, dont la présidente est Julie Hutin et soutenue par l’Incubateur Lorrain.
Un transfert technologique rendu possible grâce à SAYENS.
La diffusion des savoirs des laboratoires CNRS vers la société compte énormément pour moi, afin d’avoir un impact direct sur les plans économiques, sociétaux et environnementaux
Nous avons eu la chance d’être accompagnés, au sein de SAYENS, par une cheffe de projet extrêmement dynamique et motivée par le projet.
Deux enseignantes chercheuses de l’université de Bourgogne, Murielle Rochelet et Elodie Barbier, ont inventé une nouvelle méthode de diagnostic de la tuberculose. Cette technologie basée sur la détection électrochimique de biomarqueurs est aujourd’hui exploitée par la startup EpiLAB, dans laquelle SAYENS est partie prenante, pour diffuser ce kit portable à l'échelle mondiale et lutter contre une pandémie qui cause chaque année 1,4 millions de décès.
Enseignant chercheur au sein du laboratoire imagerie et vision artificielle ImViA de l’Université de Bourgogne, Yannick Benezeth a imaginé une technologie qui mêle capteurs cardiaques sans contact et intelligence artificielle. Portée à maturation par SAYENS, l’innovation fait l’objet d’un transfert de technologie avec un contrat de licence exclusive à Unissey (ex Deepsense). La startup l’a depuis intégrée dans sa solution de biométrie faciale passive, étoffant son arsenal de lutte contre la fraude de l'identité. Un projet prometteur avec l'explosion des usages numériques.